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Société Internationale Producteurs Editeurs de Musique

 

Pourquoi Casting par email ?
(annexe)

 

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DOSSIER D'INFORMATION

INTRODUCTION

« Comment vivre sans toit ? » est un spectacle musical qui doit permettre à chacun de prendre conscience que tout le monde n’est pas né à la même enseigne. Par là, l’idée première de cette réalisation est de créer une sorte de mouvement de compassion qui doit au moins faire réfléchir le public.

Le but de ce spectacle est donc de sensibiliser et mobiliser toutes les catégories sociales face au fait qu’il y a des personnes qui vivent de grandes difficultés et que cela pourrait nous arriver. La précarité n’a pas de préférence, elle ne choisit pas sa cible. En effet, on pense être en sécurité alors que du jour au lendemain, on peut se retrouver sans rien.

A travers ce dossier, nous souhaitons vous présenter un aperçu des caractéristiques générales du spectacle et de son producteur. Vous pourrez ainsi juger du sérieux et de la volonté que nous souhaitons insuffler à ce projet ambitieux.

Nous vous rappelons que ce dossier est purement informatif et que nombreux sont ceux et celles qui travaillent dès à présent à la bonne tenue de l’événement. Nous espérons capter ainsi votre attention et vous avoir, nous n’en doutons pas, comme partenaire socioculturel de choix.

 

SPECTACLE MUSICAL « COMMENT VIVRE SANS TOIT ? »

1. Explications générales

L’organisation et la réalisation de ce spectacle ne peuvent se faire sans l’aide bénévole de tous ses collaborateurs ; vous êtes bien entendus sollicités à cet égard mais à votre façon. Nous n’obligeons personne à nous rejoindre. Nous travaillons plutôt sur la sensibilisation, la confiance et la matérialisation de toutes les idées qui nous traversent dans cette grande aventure.

Le projet doit sa conception globale à Messieurs Artibano (S.I.P.E.M. – Société Internationale Producteurs Editeurs de Musique) et Stefan Elefteriu, producteur et réalisateur en Roumanie. Cette collaboration internationale nous a permis de mettre en chantier les bases de ce défi. De manière générale, nous souhaitons développer une représentation mobile, c’est-à-dire qui se produirait de villes en villes. L’objectif est de présenter le spectacle à un maximum de gens pendant une période déterminée.

La représentation ne devrait durer pas plus de deux heures. Il y a une réelle complexité dans le fait que les artistes se mélangent au plus haut niveau ; tant les personnages sur scène que les techniciens et collaborateurs divers deviennent créateurs en temps réel.

Dans ce spectacle, on racontera la magie avec la musique symphonique, le rock avec la pantomime, l’animation deux et trois dimensions avec le mouvement scénique, la danse moderne avec des effets spéciaux de son et lumière.

En plus, le film qui sera projeté sur les écrans placés derrière la scène servira de lien entre le spectacle et la réalité, dans l’idée de base que les spectateurs mémoriseront le message sérieux de ce spectacle.

Il va de soi que chaque personnage principal correspond à un personnage animé (qui défilera sur les écrans conformément à la scénographie), et les interprétations seront complémentaires et interactives. Donc, le spectacle s’adresse bien à toutes les catégories sociales.

De plus, un software sera créé pour gérer les effets vidéo en synchronisation avec le film et l’animation. Tout cela apporte un développement professionnel du spectacle.

Pour vous donner un aperçu du thème évoqué, un panel de plusieurs chansons est disponible sur
www.artibano-sipem.com
. Sur ce site internet, vous pourrez trouver toute l’information nécessaire à la bonne connaissance de notre projet. Nous vous donnons ici un aperçu de ce qui sera présenté près de chez vous, si vous vous joignez à nous. En outre, vous pourrez découvrir notre méthode de recherche de talents en surfant sur www.castingparemail.com (opérationnel en septembre). Ce site propose aux personnes qui ont envie de se lancer, de s’essayer sur les mélodies de certains titres présents dans le spectacle. Si vous le souhaitez, vous pourrez lire en annexe les commentaires d’Artibano sur cette nouvelle façon de recruter.

Les productions et promotions réalisées par la S.I.P.E.M. dans le cadre du spectacle se développent sereinement. Depuis plus d’un an, Artibano produit des titres qui se rapportent directement au projet musical. Il les développe par des activités promotionnelles et également par ses activités sociales. Les étapes récentes à retenir : nous ne faisons ici que les citer mais nous vous invitons cordialement à visiter les liens internet mentionnés ci-dessus.

- 03/2005 : Plaidoyer pour des logements décents et déjà annonce de la comédie sur ce thème ;
- 10/2005 : Production d’un CD 9 titres sur le thème de la comédie musicale avec entre autres « J’ai tout le ciel pour plafond » ;
- 12/2005 : Conférence de presse sur le projet logement mais avec en toile de fond, le spectacle musical ;
- 02/2006 : Annonce et préparation d’un casting pour 2007 ;
- 03/2006 : MIDEM 2006 avec promotion du spectacle et du casting ;
- 09/2006 : Production de Ella Woods (les Platters) – I’m a Vagabond ;
- 09/2006 : Production d’un CD 6 titres contenant notamment « Bourgeois » et Ella Woods – « I’m a Vagabond » ;
- 03/2007 : Production de « Marginal » et « Un toit n’a pas de couleur ».
- MIDEM 2007
- Pour en savoir plus, veuillez consulter www.pauvrewallonie.be

Au point de vue financier, ce spectacle représente certes un coût mais peut, nous l’espérons, rapporter assez de fonds pour développer le projet immobilier social auquel Artibano tient depuis des années. Qu’est-ce que 50000 euros par pays de la CEE (1.350.000 €) pour développer ce concept de prévention (spectacle musical « Comment vivre sans toit ? ») ?
En effet comme nous vous le présenterons par après, notre instigateur utilise l’art et la musique pour financer des projets à finalité sociale . Le thème du spectacle n’est pas apparu par hasard. La collaboration avec la Roumanie (et d’autres pays) est donc une chance pour comparer les degrés de précarité mais surtout pour comprendre que dans une Union Européenne aux politiques communes, il existe toutefois bien des différences dans le traitement des questions de propreté et par là, de santé. Que ce soit la Roumanie, la France, etc…, le problème commun est pourtant traité de façon inadéquate: les politiciens ne font qu’ouvrir les frontières sans traiter le véritable problème. La précarité grandissante peut nous toucher à n’importe quel moment…

Une autre illustration pour exemple. Le slogan résume toute l’action d’Artibano : « Toi qui as un toit, ne pirate pas »
(Si vous piratez, comment voulez-vous financer ce concept « Comment vivre sans toit ? »)

2. La motivation caritative : le projet logement

Bien qu’Artibano n’en soit pas à son coup d’essai en matière de mise à disposition de logements bon marchés à des démunis, le projet qu’il défend est plutôt original car il vise à permettre l’accès à la propriété à des sans abris. Ce « projet logement » a été, jusqu’à maintenant, la lame de fond qui a soutenu la motivation des créateurs des titres de chansons du spectacle musical mais pas seulement. En somme, le projet musical et le projet logement se sont, d’un point de vue « dynamique créatrice », nourris l’un l’autre comme par symbiose.

Biens que liés, les deux projets sont séparés au niveau de leur fonctionnement :

- Si la production et le spectacle marchent, Artibano se porte acquéreur d’immeubles à rénover et les met à disposition. A l’inverse, nous en tirerons tous les conséquences.
- Le SDF devient la main d’œuvre et pour un loyer largement en dessous du prix du marché, celui-ci s’inscrit dans un contrat de location-vente et devient propriétaire à la fin du contrat. En cas de non-respect du SDF, les loyers perçus servent à la restauration d’immeubles afin d’alimenter le cercle vertueux.
- Les associations apportent garantie et encadrement au travers de l’ASBL « Entraide Humanitaire » dirigée par Michel Mathot, et « Front commun » dirigée par Monsieur Jean PEETERS.

 

Aides-toi et le Ciel t’aidera ! Artibano affirme et maintient :
« Aides-toi et tu auras ton toit ! »

 

Ces deux articles parus en 2005 montrent bien la volonté d’Artibano de partager ses idées avec le citoyen. Une nouvelle fois, la presse n’hésite pas à relayer ses propos et jouer ainsi un rôle de vecteur dans la réalisation globale qui nous mobilise.

Finalement, le but de ce projet est de faire prendre conscience aux citoyens, aux SDF, aux démunis, que si chacun prenait un peu son destin en main au lieu de se lamenter constamment sur son sort, rêvant d’une main tendue, nous pensons que la misère serait moindre dans notre pays dit « civilisé ».

Faire prendre conscience, responsabiliser, s’aider soi-même avant d'être aidé, c’est ça aussi "retrousser ses manches" pour sortir du marasme de la précarité.

3. Artibano : un artiste atypique au grand cœur …

Le véritable Artiste a-t-il encore une place dans notre société ? Cette question est essentielle à l’heure où le monde artistique est en proie à de nombreuses difficultés (intermittents du spectacle, chute des « majors », licenciements en constante progression, …).
Suite à cela, de nombreuses personnes – du métier ou non - s’interrogent sur l’avenir du monde musical.
Pourtant, il est surprenant de constater qu’il existe toujours des acteurs culturels actifs pour dénoncer et lutter contre l’uniformisation en masse de la création artistique.
A La Louvière, un Artiste vit sa passion depuis une trentaine d’années. Cet homme, c’est ARTIBANO. Editeur, producteur, compositeur et interprète, il commence sa carrière à l’âge de 22 ans. Même s’il ne connaît pas des débuts faciles, il réussit à s’imposer après quelques remarquables prestations. Cependant, ARTIBANO, personnalité altruiste et profondément humaine, veut partager son succès et en faire profiter d’autres artistes.
C’est pourquoi, il décide rapidement de monter sa propre affaire. Grâce à cela, il fait connaître de jeunes talents regroupés sur une compilation présentée au M.I.D.E.M 1986.
Ensuite, fort de cette expérience au niveau de la production ou du management musical, ARTIBANO fonde la S.I.P.E.M .
Cette nouvelle société, symbole de tous les défis déjà relevés par l’Artiste, va se révéler être un modèle de fonctionnement pour des boîtes d’édition ayant connu le succès dans les années 80. En effet, le fonctionnement de la S.I.P.E.M est simple : à partir de maquettes envoyées par les artistes et si celles-ci plaisent, la société se charge de tout, de l’enregistrement à la distribution.
ARTIBANO s’est interrogé sur la viabilité d’un tel concept et a conclu que tout artiste a sa chance même s’il n’est pas connu et partant de là, pour être connu il faut être écouté.

Ainsi fidèle à cet adage, il a persévéré et contrairement à d’autres sociétés disparues aujourd’hui, la S.I.P.E.M. est toujours bien là.
La star n’est pas forcément un Artiste mais l’Artiste en soi est une star. Cette phrase résume bien le combat mené par ARTIBANO depuis ses débuts. Après 30 ans de carrière, son combat contre les dérives du show-biz et l’abus des nouvelles technologies est toujours aussi intense et sa présence régulière dans l’actualité régionale ne laisse pas indifférent. Depuis quelques années, on ne respecte plus l’originalité profonde des artistes. Il sont devenus une sorte de vache à lait pour les producteurs, obligé d’offrir du pseudo-bonheur à des consommateurs conditionnés par le martèlement hertzien de quelques titres racoleurs. En effet, il est intéressant de constater que 96,6 % du marché musical est mondialisé et ces chiffres confortent parfaitement ARTIBANO dans son action. Quel est le poids des petits producteurs ? Ont-ils leur mot à dire ?
Notre Artiste pense que oui. Pour ce faire, il prône le regroupement des gens du métier en un front capable de négocier, voire d’imposer un courant qui serait à même de sortir le monde musical de cet engrenage qui favorise le profit immédiat au détriment du talent.
Dans ce monde où les valeurs disparaissent jours après jours, il existe encore des artistes qui percent dans la profession. Après tant d’investissements de leur part, ils sont volés, non par les majors, mais par les sociétés technologiques qui, pour un besoin de rentabilité, n’hésitent pas à promouvoir de nouveaux appareils de copiage ou de stockage de titres sans jamais imaginer une manière de dédommager les artistes.
Cette situation est inacceptable pour ARTIBANO et il profite par exemple du M.I.D.E.M. annuel ou des organes de presse pour la critiquer largement.
En résumé, il est grand temps pour les artistes de se liguer contre ce système implacable et sans merci qui ne favorise que quelques-uns à coups de millions d’euros. Les consommateurs doivent s’efforcer de prendre conscience de la condition des artistes, et ça, ARTIBANO l’a bien compris… Acteur culturel incontesté grâce à la musique, il se veut également acteur social. Son action s’étend, en effet, au-delà du monde musical (gestionnaire de logements, réalisations diverses au profit des sans-abri,…) . En se mettant au service des citoyens, en prônant un retour au respect de son prochain, ARTIBANO nous apporte une bouffée d’air frais à travers les idées qu’il défend. A quand dès lors une carrière politique ?
Pour l’instant, ses priorités sont nombreuses. Tout d’abord, de nouveaux projets musicaux sont à l’étude.
Ensuite, ARTIBANO organisera, en tant que gestionnaire immobilier, une conférence-débat autour du thème : « Quel bien-être pour les propriétaires et les locataires ? » Cette conférence, qui fera l’objet d’une couverture médiatique, rassemblera les locataires et les propriétaires de la région. Selon ARTIBANO, ce sujet mérite un débat pour connaître les problèmes de chacun. Suite à cela, rappeler les obligations et les devoirs de chaque partie et vérifier qu’ils sont bien en adéquation avec les problèmes énoncés au cours de la réunion.
Enfin, ARTIBANO prépare actuellement un droit de réponse au magazine télévisé « strip-tease ». Cette action concerne un reportage diffusé le 1er décembre 1999. La qualité médiocre du document journalistique et l’absence d’objectivité dans le récit ont incontestablement ternies l’image de l’Artiste. A ce titre, la question de l’influence des médias et de leur manipulation politique, mérite réflexion lorsque l’on constate que la popularité d’un citoyen peut-être sanctionnée si elle est perçue comme un danger. La télévision, comme on le voit, peut se révéler être une arme puissante pour porter un jugement arbitraire ( et compromettant ) sur ceux qui font trembler quelques quidam accrochés à leur jetons de présence…
En conclusion, le temps passe mais ARTIBANO reste…lui-même, un Artiste combatif et dévoué, comme il y en a peu.

CONCLUSION

Nous espérons que ce document d’information vous aura permis de mieux comprendre notre action. Pourquoi ne pas nous aider au travers de vos idées pour réaliser ce spectacle musical « Comment vivre sans toit ? ».
Pour terminer, nous vous invitons à lire l’article ci-dessous. Il résume bien notre démarche envers vous. Bien qu’entouré par des collaborateurs talentueux, je ne peux que vous inviter à nous rejoindre car plus on est, mieux c’est !

 

Seul, on ne peut que rêver...
Ensemble on peut créer !

Pourquoi Casting par email ?
(annexe)

 

 

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